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Edito du 12 février.

En moins de 72 heures, l’entreprise suédoise aura reçu plus de 250 000 citations publiques sur les réseaux sociaux à propos du « chevalgate ». Si la démission du pape semble avoir temporairement calmé les internautes, la vague de bad-buzz semble loin d’être terminée. Par capilarité avec les influenceurs du Web et médias, les images et vidéos parodiques des produits Findus gagnent désormais en visibilité sur les comptes Facebook des consommateurs réels de la marque.
Dans un contexte où les internautes et médias ont une forte tendance à adopter un esprit moutonnier, prendre la parole individuellement auprès des influenceurs aurait pu diminuer le bad-buzz. Mais sans équipe dédiée, avec une page Facebook en veille depuis mai 2012 et sans compte Twitter, c’est plus difficile.

Pour l’occasion, j’ai créé « heureusement il y a Findus » afin d’expliquer comment le bad-buzz a commencé, et comment il évolue. Je vous invite à le découvrir et à vous abonner.

Pierre-Yves Sanchis, Agence Comeen

Pour consulter la dernière minute Dédé 2.0 envoyée le 12 février dernier, suivez le lien