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Consultez les autres réponses données par Kering

La clientèle du luxe est-elle prête à intégrer le développement durable ?

Kering peut-il jouer un rôle leader dans l’intégration du développement durable dans le luxe ?

Comment Kering gère-t-il le sourcing des produits rares ?

Ou sur notre playlist Kering, environnement et climat.

Dans le cadre de notre opération CAC21, nous avons permis aux internautes d’interroger des entreprises du CAC40 sur leur politique environnementale. Au total, les internautes ont posé plus d’une centaine de questions aux 20 entreprises qui ont accepté le défi #CAC21. En vidéo, les entreprises ont répondu. Vous pouvez consulter l’ensemble des vidéos et des questions sur notre page CAC21.

Marie-Claire Daveu, Chief Sustainability Officer au sein de Kering revient sur la politique environnementale du groupe.

Rafael interroge Kering :

« Comment évaluez-vous l’impact environnemental de la fin de vie de vos produits ? »

Marie-Claire Daveu, Chief Sustainability Officer au sein de Kering

« Alors, je souhaiterais répondre à Rafael que nous avons créé au niveau du groupe Kering une nouvelle méthodologie pour mesurer notre empreinte environnementale qui s’appelle le Compte de Résultat pour l’Environnement. Ce compte permet de donner une valeur monétaire à notre empreinte environnementale, non seulement dans nos opérations mais également dans notre supply chain, depuis le rang 1 jusqu’au rang 4 de fournisseurs, c’est à dire le champ de coton, l’élevage bovin.

Nous avons démarré par mesurer l’impact dans notre supply chain puisque nous savons grâce à des projets pilotes que nous avons menés que la majeure partie de notre impact environnemental est sur l’amont de nos opérations dans la supply chain. Nous avons aussi grâce à cet outil pu comprendre que 7 % de notre impact environnemental est au sein de nos opérations, et que 93% est en dehors de l’entité légale de nos opérations, dans la supply chain.

Ensuite pour répondre plus précisément à sa question de « Comment on intègre et comment on mesure l’empreinte environnementale fin de vie du produit ? », je lui dirai que ça c’est la prochaine étape : nous avons déjà aussi démarré un projet pilote avec la marque Stella McCartney pour mesurer justement notre empreinte environnement sur l’aval. Maintenant sur cette partie aval, il nous faudra aussi prendre en compte les habitudes des consommateurs, qui ont des habitudes très diverses en fonction de la région du monde où ils habitent. Donc encore une fois le développement durable c’est une démarche de progrès, il a raison, nous avons fait la supply chain, et la prochaine étape est bien l’aval. »