[chimpy_form forms= »8″]

Consultez les autres réponses données par Carrefour

Carrefour va-t-il supprimer les pesticides et herbicides dangereux ?

Carrefour va-t-il généraliser les zones froides fermées pour éviter les déperditions d’énergie ?

Carrefour récupère-t-il les matériels électriques usagés ?

Que faire carrefour pour réduire ses emballages ?

Comment Carrefour favorise-t-il l’agriculture biologique ?

Ou sur notre playlist Carrefour, environnement et climat.

Dans le cadre de notre opération CAC21, nous avons permis aux internautes d’interroger des entreprises du CAC40 sur leur politique environnementale. Au total, les internautes ont posé plus d’une centaine de questions aux 20 entreprises qui ont accepté le défi #CAC21. En vidéo, les entreprises ont répondu. Vous pouvez consulter l’ensemble des vidéos et des questions sur notre page CAC21.

Question de Marion Noirot, chargée de mission RSE pour Carrefour :

« Comment considérez-vous votre rôle de « sensibilisateur » auprès des consommateurs ? »

Betrand Swiderski, Directeur RSE chez Carrefour :

« Cette question de sensibilisation des consommateurs elle touche l’accompagnement de nos clients, et donc nous en effet nous pensons que le rôle d’un distributeur est d’accompagner son client à faire le bon choix, à faire son choix et à garder du plaisir dans sa consommation.

Je vais donner en fait 3 exemples très simples. Le premier est un exemple lié à l’agro-écologie. Quand on a lancé le poulet nourri sans antibiotique, ça a été un succès, le consommateur a compris le sujet de l’agro écologie, et aujourd’hui on en vend bien plus que ce qu’on avait prévu et aujourd’hui d’autres partenaires font la même chose. Donc ça veut dire qu’en fait on a créé un élan, le client a compris et ça a créé un élan collectif.

Le deuxième exemple est lié au gaspillage alimentaire. En Roumanie, on a expliqué à nos clients qu’une banane verte pouvait se conserver plus longtemps à la maison, environ 5 jours de plus, qu’une banane jaune. Donc on a proposé au client le choix entre des bananes jaunes ou des bananes vertes, tout en expliquant que lui, pour lutter contre le gaspillage alimentaire, il pouvait choisir les vertes. C’est un accompagnement.

Notre troisième projet, troisième exemple est lié à la nutrition. Notre idée est que collectivement avec d’autres partenaires, nous accompagnons les clients à comprendre à quelle fréquence ils doivent consommer un produit. Cet accompagnement c’est une manière pour nous d’aider nos clients à mieux consommer et à connaître les bons outils de nutrition. »