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Carrefour va-t-il généraliser les zones froides fermées pour éviter les déperditions d’énergie ?

Carrefour récupère-t-il les matériels électriques usagés ?

Que faire carrefour pour réduire ses emballages ?

Quel rôle joue Carrefour dans la sensibilisation au développement durable ?

Ou sur notre playlist Carrefour, environnement et climat.


Dans le cadre de notre opération CAC21, nous avons permis aux internautes d’interroger des entreprises du CAC40 sur leur politique environnementale. Au total, les internautes ont posé plus d’une centaine de questions aux 20 entreprises qui ont accepté le défi #CAC21. En vidéo, les entreprises ont répondu. Vous pouvez consulter l’ensemble des vidéos et des questions sur notre page CAC21.

Betrand Swiderski, Directeur RSE chez Carrefour répond aux questions des internautes sur la politique développement durable du groupe.

Question de Daphnée pour Carrefour :

« Pensez-vous augmenter la part dédiée à l’agriculture biologique dans vos rayons frais ? ».

Bertrand Swiderski, Directeur RSE chez Carrefour :

« Déjà il faut savoir que Carrefour est le premier vendeur de produits issus de l’agriculture biologique (définition de l’agriculture biologique). Je pense que c’est important de comprendre que ça répond au libre choix de nos consommateurs. Nos consommateurs doivent avoir le choix de choisir un produit biologique ou un produit conventionnel.

Et figurez-vous que l’on observe dans nos chiffres, et ça partout dans les 10 pays du groupe, une tendance de consommation qui est nette et que l’on suit et que l’on accompagne, de consommation de produits biologiques. Depuis 2012 par exemple, sur les 2 dernières années on a augmenté de 20 % nos ventes de produits biologiques. C’est un signe très positif. Comment accompagner ce changement, comment faire pour déclencher encore plus d’achats et de nouveaux clients ? Parce que l’important c’est qu’on ait de nouveaux clients qui passent du conventionnel au biologique.

C’est l’exemple de la banane bio-équitable. On a lancé l’année dernière une banane bio-équitable, et on l’a placée à côté du conventionnel, on l’a positionnée à côté du conventionnel. Chaque client a eu le choix entre une banane conventionnelle, et une banane bio-équitable, et souvent il a fait le choix de bananes bio-équitables, puisqu’on en a vendu 13 000 tonnes, j’espère que ça sera 14 000 tonnes en fin d’année. Donc vous voyez, l’idée est de donner le libre choix au client, d’expliquer, de bien rentrer dans le fond du sujet et de proposer des bons produits. Parce qu’un produit bio il doit d’abord être très bon. »